32, c'est le nombre, jusqu'en février dernier, d'actions de groupe ouvertes en France, depuis leur création en 2014 par la loi Hamon. Malgré leur intérêt pour les victimes, comment expliquer qu’elles soient encore si peu nombreuses ? Le Centre international de criminologie comparée de Montréal et Amissi Manirabona, Professeur à l'Université de Montréal ont organisé, mardi 31 octobre, la conférence « Accès à la justice et participation des victimes à travers les associations en France ». Cett...
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